
tchuchki bistoufly grut flakeublak tizuski bistouket OMLET flumach quiputz dazuglaski ..." Le gars parlait en ultrasons bulgares. Je ne sais pas comment, Tom a compris "omelette", alors on a pris 2 omelettes, pour se simplifier la vie. Ensuite, on a commandé 1 chocolat chaud et 1 café frappé. 2ème pirouette de flipper, il nous a fait apporter 2 chocos & 2 cafés, qu'il a fallu en plus payer. Merci Flipper et à bientôt pour de nouvelles aventures, on prend les vélos et on trace.
25 km de longues montées pas trop pentues et de courtes descentes, c'était les prémisses de la grosse grimpette. On s'échauffe bien, une dernière pause coca et on attaque le gros morceau : une côte de 22km pour un dénivelé d'au moins 1000m, chargés et avec un soleil de plomb au-dessus de nos têtes. En effet ils annonçaient entre 39° et 42°c dans la région.
On est d'accord avec Thomas pour vous dire ; "c'est le truc le plus dur qu'on ait fait de notre vie".
La côte était raide, sans répis et surtout interminable, pas un moment de répits : 2H30 d'effort non stop ! HARD CORE ! Pour être honnête on s'est arrêté 2 fois pour se désaltérer, jamais trop longtemps car repartir c'était HARD CORE !
Bien sûr, pour compléter le tableau, il ne faut pas oublier les voitures et les camions qui ne mettent pas toujours la distance nécessaire pour nous éviter.
Arrivés en haut à 14h : quelle délivrance ! Beady a poussé un cri de ouf entre Tarzan et Marcellus Wa


Elle démarre dans les montagnes la surplombant et d'un coup on voit la grande cuvette apparaître avec les premières villes de la périphérie et enfin la capitale bulgare tentaculaire avec ses blocs par centaines, ses espaces verts et ses monuments au loin. Arriver comme ça d'une montagne à plus de 55 km/h au-dessus d'une ville de près de 2M d'habitants, c'est vraiment un
spectacle grandiose.
On prend le traditionnel train de banlieue pour entrer dans la ville sauf que là il s'est transformé en car. Ne prenez le train en Bulgarie que si vous avez beaucoup beaucoup temps devant vous.
Arrivés en centre ville, on fait appel à notre ami Rado chez qui on doit passer la nuit pour nous indiquer le chemin. Rado, c'est le happy bulgare. Et donc comme prévu on s'est perdu. Re-coup de fil et nouv

Nous ne rentrons pas trop tard. Demain, dernière étape de notre périple et environ 70km à vélo pour rejoindre BLAGOEGRAD. Nos amis nous attendent. La fête pourra commencer.
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